Dernier jour. Météo froide mais pas de précipitations.
Première partie du parcours très sympa dans des pistes zigzagant entre les collines.
Retour dans la plaine et de nouveau trés glissant avec par endroit cette même glaise mais surtout de l'eau, de l'eau, de l'eau.
La photo ci dessous n'est pas un ruisseau ni un guet mais un chemin transformé en rivière que l'on à du remonter sur des centaines de mètres.
Fin de matinée, une KTM a tapé avec son sabot moteur une grosse pierre et le moteur a immédiatement calé.
On démonte et.... sous le carter de protection une pièce en plastique qui relie la durite du qui vient du réservoir gauche à la pompe a essence à cassée net. Pas très intelligent d'avoir mis cet endroit telle pièce si mal protégée.
On passe un long moment à tenter de réparer mais cela s'avérera impossible. La KTM ne repartira pas.
Pour arriver à l'heure au restau (horaires ibériques ....), on accélère le rythme et ça envoie fort dans le groupe de tête.
La pluie arrive et vu les conditions météo (chutes de neige abondantes) dans les Pyrénées pour ceux qui doivent rentrer dimanche, on décide de raccourcir le trajet de l’après midi pour que tous puissent repartir en sécurité.
Balade épique mais beaucoup de souvenirs, super ambiance, pas de blessures malgré de nombreuses chutes.
La 100 GS (32 ans et 135.000 km) a suivi sans soucis le rythme des motos modernes et aucune panne à déplorer, contrairement à deux KTM qui auront fini le périple sur remorque.